Un diagnostic partagé
Que ce soit le dérèglement climatique, la perte de biodiversité, la raréfaction des ressources, etc., nous sommes tous conscients que si nous n’osons pas changer de trajectoire, nous irons vers de plus grands effondrements et crises humaines.
Nous utilisons quant à nous la métaphore de l’entonnoir :
Plus nous attendons, plus la pression monte : résoudre les problèmes sera d'autant plus coûteux et complexe, voire impossible si nous n'avons plus de marge de manoeuvre.
Un constat inquiétant
Pour différentes raisons (manque de temps, d'accompagnement adapté, etc.) nombreux sont les acteurs, de tous secteurs - même s’ils sont conscients des maux de nos sociétés et des risques associés - qui croient qu’investir dans le Développement Durable, ça ne vaudra le coup que quand tout le monde s’y mettra, qu’il ne peut pas être rendu opérationnel, que c’est une contrainte, un coût, un risque.
Au contact des entreprises, institutions et élus, nous sommes conscients de leurs contraintes.
Nous ne condamnons donc personne, nous cherchons à sensibiliser parfois par la provocation notamment avec ce dessin
inspiré d’une citation de David Suzuki
« Nous sommes tous dans une voiture géante fonçant tout droit vers un mur en briques et tout le monde se dispute ».
Il est urgent d’engager des conversations essentielles pour redevenir auteur de notre futur, co-créateur d'une société durable.
Des actions encourageantes
Certains acteurs ont compris que l’intégration de la perspective Développement Durable au cœur des métiers, de la stratégie, est une des clefs de l’intelligence économique mais aussi technologique et sociétale, source d’innovations adaptées permettant à son organisation, sa filière, d’avoir un coup d’avance par rapport aux réglementations et à la concurrence.
Ceux-là cherchent en fait à pouvoir répondre OUI à ces 3 questions :
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